Quand l'insulte devient l'argument...

Un album « souscription citoyenne »...

pour offrir un bar, à cette épave de Renaud ?

 

L’alcoolisme est une déchéance personnelle et sociale, dont le chanteur Renaud nous offre actuellement une illustration pitoyable.

« Rebelle-attitude » … de comptoir

A n’en pas douter l’alcool lui a brulé le cerveau. A l’heure où la matraque s’abat, sans retenue, sur le mouvement social, et où l’on sait que + de 50% des fonctionnaires de police votent FN, le voilà maintenant qui embrasse la flicaille.

Dans quels abysses vaporeuses est donc tombé l’auteur d’ «Hexagone» ?

Son addiction particulière au « p’tit jaune » donnerait-elle la couleur de ce virage collabo ?

Son retour en fanfare médiatique (et ce malgré ce qu’il peut prétendre) ne peut malheureusement que nous conforter dans l’idée que ce pantin tragique, ne bave aujourd’hui que pour le seul environnement peopolisé qu’il prétend rejeter. Renaud s’affirme ainsi, et de plus en plus, comme « l’anar de droite » dont les multiples prises de positions dessinent aujourd’hui le portrait. Il ne se montre plus guère capable de penser au-delà de son petit nombril et du brouillard dans lequel il regarde l’écran de BFMtv depuis la moleskine de sa banquette de rade.

Nous ne pouvons qu’inviter le chanteur Renaud à dorénavant … fermer sa gueule !

Et nous laisser le souvenir attendri d’un chanteur des années 70, maniant une jolie et gouailleuse écriture, pour évoquer la banlieue. Le Renaud, qui sut interpréter des chansons marquées de l’empreinte libertaire du temps, à malheureusement sombré dans l’apitoiement égocentrique du pochtron dorénavant saoulant.

Acheter son nouvel album ne peut être alors considéré que comme une « souscription citoyenne », qui lui permettra de tenir la barre de son propre bistrot d’où il pourra, tout à loisirs abreuver de ses pauvres élucubrations ses piliers de comptoir CRS.

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Le poivrot Renaud, qui nous dit vouloir se tenir loin des médias et des paparazzis, a pourtant longuement exposé sa soulographie dans les endroits du plus chic parisien (comme à la Closerie des Lilas). Se biturer d’accord, mais dans le théâtre factice de l’intelligencia sépia ; car enfin, se défoncer au Pastis n’oblige pas à fréquenter la Canaille, qui n’aurait sûrement pas hésité à renvoyer Renaud à son milieu.

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  Renaud